Version:1.0 StartHTML:0000000188 EndHTML:0000006727 StartFragment:0000002924 EndFragment:0000006691 SourceURL:file://localhost/Users/c_desjardins/Desktop/2VM%20Rassemblement%20C.doc @font-face { font-family: &#8220;Times New Roman&#8221;; }@font-face { font-family: &#8220;Arial&#8221;; }@font-face { font-family: &#8220;Calibri&#8221;; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 10pt; font-size: 12pt; font-family: Arial; }table.MsoNormalTable { font-size: 10pt; font-family: &#8220;Times New Roman&#8221;; }div.Section1 { page: Section1; }
«Nous avons rencontré la ministre Yolande James mardi dernier (7 septembre). Nous lui avons indiqué que notre dépôt tient compte des particularités du secteur. C&#8217;est un dépôt réaliste à propos duquel on souhaite une réaction positive de la part du gouvernement. Nous croyons que Mme James a bien reçu le message. Nous espérons une réponse concrète au cours des prochaines semaines», a annoncé Jeff Begley, vice-président de la Fédération de la santé et des services sociaux de la CSN. «La négociation avance bien et on a vraiment l&#8217;impression d&#8217;être prises au sérieux», a, à son tour, assuré Chantal Racicot, membre du comité de négociation national des RSG. 
Rappelons que les RSG membres de la CSN ont déposé leur cadre pécuniaire au début du mois de septembre, conformément aux articles 31 et 32 de la loi qui encadre la négociation actuelle et ont accueilli avec une certaine réserve le dépôt de la partie patronale pour ce qui est des questions non financières (assurances, congés, absences en cas de maladie, vacances et autres). «C&#8217;est sûr que ça ne correspond pas en tout point à ce qu&#8217;on a mis sur la table, mais c&#8217;est la nature même d&#8217;une négociation. On progresse très certainement», a cependant tenu à ajouter Mme Racicot. 
Une rencontre entre la ministre de la Famille et des Aînés, les représentants de la CSN et la présidente du Conseil du trésor, survenue au lendemain du rassemblement de Saint-Canut, a en outre permis la présentation des demandes pécuniaires de la CSN dans les pourparlers entre le ministère et les RSG. Cette rencontre a également permis à la CSN de réitérer sa volonté de travailler en vue de conclure une entente le plus tôt possible. 
Grand rassemblement
Au cours des derniers jours, la Caravane a poursuivi sa tournée du Québec afin d&#8217;informer les RSG sur l&#8217;état de la négociation de leur première entente collective avec le Ministère. La tournée a culminé par un grand rassemblement en face du parlement, à Québec, le samedi 25 septembre dernier. «Ça fait longtemps qu&#8217;on attend une entente et on travaille fort dans ce sens-là, la tournée est la preuve que les filles sont motivées et on va le démontrer une fois de plus à Québec, le 25», a, pour sa part, conclu Suzie Poirier, membre du comité de mobilisation nationale et éducatrice en milieu familial dans les Laurentides. 
D’autres dates figurent au calendrier de négociation, permettant l&#8217;espoir d&#8217;un règlement rapide et satisfaisant de ce dossier qui implique le ministère et les RSG depuis près de 10 ans.

Pour rendre hommage à la concertation locale et à la présence des organismes communautaires au sein de la MRC de Thérèse-De Blainville, les partenaires de la Concertation locale d’intervention communautaire (CLIC) ont procédé à la plantation d’un arbre sur le terrain du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de la MRC.
Afin de souligner cette plantation, plusieurs élus municipaux et intervenants au sein des différents organismes de la MRC s’étaient déplacés. «La collaboration avec les organismes communautaires est un élément essentiel dans la poursuite de notre objectif commun, soit d’améliorer l’accessibilité et la qualité des soins et services pour notre population. Merci aux partenaires de la CLIC pour ce beau cadeau», a mentionné Robert Dean, président du conseil d’administration du CSSS de Thérèse-De Blainville.
Pour accompagner la plantation de l’arbre, les partenaires de la CLIC ont déposé une plaque sur laquelle on retrouve les inscriptions détaillées de ce geste symbolique. «Les organismes communautaires sont nombreux à avoir pris racine et à avoir évolué en oeuvrant auprès des personnes vivant des problèmes de pauvreté, d’exclusion, de violence, de difficultés physiques, affectives ou sociales», de confier Mireille Langlois, représentante de la CLIC.
Pourquoi choisir le terrain du CSSS de Thérèse-De Blainville pour planter l’arbre de la concertation locale? «Pour qu’un arbre grandisse, il faut un sol fertile afin qu’il y développe de solides racines. Partenaire indéniable, le CSSS a toujours été solidaire des actions du mouvement communautaire dans notre MRC», d’ajouter la représentante de la CLIC.
En cette période de turbulence économique et de coupures gouvernementales dans les différents programmes d’aide et de soutien aux organismes, la porte-parole de la CLIC a voulu rappeler l’importance de la contribution des organismes communautaires au sein de la société. «Il faut aussi entretenir cet arbre. La survie des organismes communautaires est toujours précaire. L’impact de la crise économique se fait sentir: les organismes voient le nombre de personnes dans le besoin augmenter sans que le gouvernement consacre les ressources financières pour leur permettre de répondre à la demande», accuse-t-elle.
Également sur place, la mairesse de Sainte-Thérèse, Sylvie Surprenant, a rappelé la contribution des organismes communautaires. «C’est grâce à la CLIC qu’il existe une telle synergie entre les organismes communautaires. Je tiens à remercier grandement leurs représentants, ils unissent leurs forces afin de mieux desservir la communauté», a-t-elle indiqué.

L’arbre de la concertation

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«Nos missions respectives vont de pair et la reconnaissance de la Fondation Paul Gérin-Lajoie servira la cause du Pôle universitaire», a précisé le président du Pôle, Élie Fallu. Mentionnons qu’au terme de l’assemblée générale annuelle de l’organisme, M. Fallu a été reconduit dans ses fonctions de président, et ce, pour une cinquième année.
Présent au moment de l’annonce, M. Gérin-Lajoie a profité de la tribune pour offrir un long plaidoyer en faveur de l’éducation et de son accessibilité. D’une  voix à la fois éteinte mais combien vivante, M. Gérin-Lajoie croit que cette alliance entre le Pôle et la Fondation ne pourra que leur permettre d’aller encore plus loin dans leur effort commun d’accessibilité à l’éducation pour tous.
«L’effort du Pôle universitaire Paul Gérin-Lajoie, puisque c’est maintenant son nom, pour faciliter l’accès à des études universitaires aux gens de la région des Basses-Laurentides ne peut que me réjouir et je vois, dans ce changement de dénomination, un réel honneur», a-t-il dit.
Si, jusqu’à maintenant, la Fondation Paul Gérin-Lajoie s’est essentiellement concentrée sur l’accès à l’éducation de base, d’abord au Sénégal, puis au Bénin, au Burkina Faso, au Mali et en Haïti, sachez que depuis quelques années, elle a ajouté la formation professionnelle à son offre. «Aujourd’hui, pour nous accompagner dans nos premiers pas au niveau universitaire, l’expertise du Pôle universitaire ne peut qu’être une alliée privilégiée», a-t-il ajouté.
La signature d’un protocole d’entente entre les deux organismes viendra sous peu sceller cette nouvelle alliance.
Un souffle nouveau
Si la dernière année en est une à oublier, de l’aveu même de son président, celle qui s’amorce s’annonce prometteuse à bien des égards pour le Pôle universitaire. Nouveau nom, certes, mais aussi nouvelle pérennité grâce à l’appui financier des trois CLD régionaux (Deux-Montagnes, Mirabel et Thérèse-De Blainville), qui investiront annuellement la somme de 125 000 $. L’Université Laval, partenaire de la première heure, a aussi augmenté, voire doublé sa contribution annuelle pour le développement du Pôle, à hauteur de 100 000 $, pendant trois ans, en plus d’un montant de 74 000 $ destinés à l’ameublement et les équipements nécessaires à la formation.
Dans la foulée, et avec pour toile de fond, l’inauguration de ses nouveaux locaux, situés au Centre culturel et communautaire Thérèse-De Blainville, le Pôle met résolument le cap sur l’avenir. À preuve, plusieurs projets sont actuellement en marche, lesquels se traduisent, entre autres, par l’offre d’une formation de 3e cycle, le développement d’une chaire de recherche, la diversification des programmes offerts (10 nouvelles formations sont à venir ou actuellement à l’étude), l’acquisition d’un système de visionconférence et la vision d’un réseau national et international.

La Caravane des responsables de service de garde en milieu familial de passage à Saint-Canut