Les Rosemèrois ont eu la chance de rencontrer l’écrivaine, journaliste et comédienne Janette Bertrand, mercredi au Centre communautaire de Rosemère. Cette grande dame du milieu artistique québécois y était pour présenter son livre La Vieillesse par une vraie vieille, paru chez Libre Expression en mars 2016.
Identifié comme une biographie, le bouquin, destiné aux personnes âgées de 65 ans et plus, envoie un message fort à l’effet que, comme le dit Mme Bertrand: «Oui, il y a du plaisir après soixante-cinq ans.»
Elle ajoute, pour résumer le livre: «Au cours de ma longue vie, j&#8217;ai accumulé des moyens efficaces pour mieux passer les trente ans supplémentaires que la science nous alloue. Je veux les partager avec vous. Ils fonctionnent, j&#8217;en suis la preuve. Puisque, après la retraite, on va vivre encore de longues années, ce serait dommage de les gaspiller ou même de les gâcher. Elles sont précieuses.»
Lors de cette rencontre littéraire, les citoyens ont pu échanger avec Mme Bertrand sur les différents thèmes abordés dans son œuvre tels que l’amour et la santé.
La mairesse de Rosemère, Madeleine Leduc, était évidemment heureuse d’accueillir Janette Bertrand dans sa Ville.
«Ce fut un honneur de recevoir Mme Bertrand à Rosemère et de pouvoir échanger avec elle sur différents sujets qui interpellent tant les jeunes que les moins jeunes, s’est réjouie Mme Leduc. Par son engagement social, a-t-elle poursuivi, Janette Bertrand constitue un modèle d’inspiration pour tous les citoyens.»
Soulignons que La Vieillesse par une vraie vielle n’est pas le premier livre de Janette Bertrand. Âgée de 91 ans, elle en a déjà écrit plus d’une dizaine, dont son autobiographie, Ma vie en trois actes, lancée en 2004. Elle a d’ailleurs reçu le Prix du Grand Public pour cet opus, en 2005, lors du Salon du livre de Montréal.

À l’aube du mois d’avril, Mois de la jonquille, la Société canadienne du cancer (SCC) vendra du 30 mars au 2 avril une petite fleur pour une grande cause: la jonquille, symbole de vie et d’espoir.
L’animatrice Josée Boudreault est la porte-parole de la campagne de la SCC pour une quatrième année: «Ma mère est décédée d’un cancer du poumon il y a trois ans, quelques mois avant la naissance de ma fille Flavie. J’ai espoir qu’un jour, ceux qu’on aime ne mourront plus du cancer du poumon comme ma mère. Soyez solidaire des personnes touchées par le cancer. Achetez des fleurs ou offrez-en. Voilà une belle façon d’appuyer la recherche contre le cancer, de soutenir les efforts de prévention et donner de l&#8217;espoir à ceux qui vivent présentement avec la maladie.» 
La SCC invite la population à poser un geste de solidarité tout simple: Acheter des fleurs fraîches du 30 mars au 2 avril (au coût de 3 pour 5 $/10 pour 10 $). Porter fièrement l’épinglette jonquille de la SCC durant tout le mois d’avril, vendue dans les points de vente de fleurs fraîches du 30 mars au 2 avril ou durant tout le mois d’avril à votre bureau régional de la Société canadienne du cancer.
Dans la MRC Deux-Montagnes c’est Benoit Charette qui est le président d’honneur de cette campagne du Mois de la jonquille. «J’encourage toute la population de la MRC à être solidaire et à acheter des jonquilles du 30 mars au 2 avril prochain afin que la SCC puisse être là pour eux et leur entourage» souligne M. Charette.
«Je tiens à mentionner que j’accorde une grande importance à cette campagne de jonquilles en posant des actions concrètes à nos citoyens que ce soit en décorant l’hôtel de ville de fleurs fraîches, en portant l’épinglette jonquille, enfin j’agirai également comme bénévole à un kiosque de ventes de jonquilles. Je souhaite que nous soyons encore plus nombreux en 2017 à manifester notre appui à cette grande cause» souligne Paul Larocque, maire de Bois-des-Filion, préfet de la MRC de Thérèse–De Blainville et président d’honneur pour cette campagne du Mois de la jonquille pour une onzième année consécutives.
<h4>Une petite fleur pour une grande cause </h4>
L’argent recueilli pendant le Mois de la jonquille sauve des vies: aujourd’hui, 63 % des personnes qui se sont fait dire «Vous avez le cancer» sont en vie cinq ans après. Pour certains cancers, la survie est encore plus spectaculaire, notamment pour le cancer infantile (82 %), le cancer du sein (88 %), le cancer de la prostate (96 %) et le cancer du testicule (97 %). Dans les années 1940, le taux de survie global était d’environ 25 %.
Visitez cancer.ca ou appelez-nous au 1 888 939-3333.
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Mois de la jonquille Société canadienne du cancer

Les jonquilles de la Société canadienne du cancer seront en vente du 30 mars au 2 avril

En prévision du deuxième budget fédéral du ministre des Finances, Bill Morneau, qui sera déposé le mercredi 22 mars prochain, le Bloc québécois et le député de la circonscription de Mirabel, Simon Marcil, ont présenté ces derniers jours leurs attentes qui découlent des multiples consultations menées au Québec dans le dernier mois.
«En plus de rétablir la hausse des transferts en santé et en éducation à 6 % jusqu’à ce qu’Ottawa assume le quart de la facture, nous demandons un meilleur accès à l’assurance- emploi, notamment en abaissant à 360 heures le nombre d’heures travaillées pour y avoir droit, ainsi qu’une prolongation des prestations pour mettre fin au &#8220;trou noir&#8221;. Il est temps que le régime cesse d’être une taxe à l’emploi et redevienne une aide aux travailleurs », a fait valoir le député de Mirabel, M. Simon Marcil.
«Les ratés de l’assurance-emploi tuent la vitalité des régions, où le travail est souvent saisonnier. Il n’y a rien de plus sacré pour un peuple que l’occupation de son territoire. Or, le Québec ratatine, les régions ressources se vident de leurs jeunes. Pour freiner l’exode, Ottawa doit compenser le manque de main-d’oeuvre qualifiée par un crédit d’impôt pour les jeunes diplômés en région», de poursuivre le député bloquiste.
S’adapter aux réalités du Québec
«Près d’un an et demi après les élections, on réalise que les politiques fédérales ne répondent absolument pas à nos besoins. À chaque fois qu’Ottawa avance quelque chose, ça nous fait reculer. Harper travaillait pour Calgary; Trudeau travaille pour Toronto. Pour le Québec, ça revient au même », a affirmé, de son côté, le chef intérimaire du Bloc québécois et député de Rivière-du-Nord, Rhéal Fortin.
«Dix ans après avoir reconnu que notre nation existe, c’est au fédéral de s’adapter à nos particularités, ce n’est pas à nous à entrer dans son moule. Nos attentes représentent ce qu’on estime prioritaire pour un budget fédéral moins mésadapté que d’habitude à la réalité québécoise», de poursuivre celui-ci, tout en demandant aussi à Ottawa de transférer en bloc à Québec les sommes destinées aux infrastructures fédérales
«En somme, tout porte à croire qu’Ottawa s’apprête à présenter un budget qui cherchera à combler les faiblesses du Canada en innovation plutôt qu’à stimuler nos forces, un budget qui étrangle les provinces au profit de micro-programmes en santé qui viennent déstructurer le réseau et centraliser la prise de décision, un budget qui oublie nos régions et leurs besoins. Mais tant et aussi longtemps que la nation voisine prendra pour nous des décisions fiscales aussi majeures, les Québécoises et Québécois ne connaîtront jamais la pleine mesure de leur potentiel», de conclure les deux élus bloquistes.
Le détail des attentes budgétaires présentées par le Bloc Québécois est disponible pour consultation sur le [<a href="http://www.blocquebecois.org/AB_2017">www.blocquebecois.org/AB_2017</a>]

Janette Bertrand parle de vieillesse avec les Rosemèrois