«Je tiens à féliciter les récipiendaires de cette bourse pour leur excellent travail et leur dévouement auprès des citoyens de Rosemère au cours de l’été, a déclaré Madeleine Leduc, mairesse de Rosemère. Le conseil municipal se joint à moi pour féliciter les trois boursiers et leur souhaiter un bon succès dans leur cheminement scolaire», termine-t-elle.

Bourse d’études remise à trois employés d’été à Rosemère

Issus du comité de paternité des Laurentides, ces ateliers se font en partenariat entre Calenbourg et l&#8217;Université du Québec en Outaouais (UQO).
Les rencontres gratuites, animées par Bernard Bisson et Josée Maltais, ont lieu au pavillon Saint-Jérôme de l’UQO chaque semaine. Elles permettent aux hommes de réfléchir sur leur rôle de père ou de beau-père et sur les défis qui y sont associés.
«Le but premier de ces ateliers est de permettre aux hommes présents d’échanger entre eux et de prendre conscience de leurs compétences. Un thème différent est exploré chaque semaine selon les préférences des participants. Nous tentons au fil des rencontres d’aider ces hommes à trouver de nouvelles façons de faire avec leurs enfants et à développer des attitudes favorisant l’harmonie familiale. Nous souhaitons aussi qu’ils s’approprient des moyens pour favoriser une saine discipline et qu’ils acquièrent une meilleure compréhension de leurs enfants et d’eux-mêmes en tant que parents», mentionne Julie Garneau, agente de liaison pour l’IAP qui siège également au comité de paternité dans la région des Laurentides.
Les hommes intéressés par ces ateliers peuvent contacter directement Julie Garneau, à julie.garneau@uqo.ca ou au 450 530-7616, poste 4109.

Ateliers pour les pères qui veulent améliorer leurs relations avec leurs enfants

En marge de cette vaste offensive, la coalition a énuméré plusieurs revendications. Entre autres demandes, elle souhaite que Québec octroie des crédits d’impôt remboursables aux 148 journaux concernés, ce qui leur permettra d’absorber les coûts engendrés par leur production, mais aussi d’acquérir des logiciels spécialisés  destinés à faciliter la mise en ligne du contenu numérique.
La CPPIQ exige également des gouvernements que ceux-ci abolissent la taxe de vente du Québec (TVQ) ainsi que la taxe sur les produits et services (TPS) perçus sur les journaux vendus. La coalition souhaite par ailleurs une augmentation significative des budgets gouvernementaux destinés aux placements publicitaires dans les journaux québécois.
Être exempté de financer les coûts nets des services de collecte sélective municipale, une contribution payable en argent en vertu de la Loi 88, fait aussi partie des quelques requêtes formulées par la CPPIQ.
Au Groupe JCL
Au Groupe JCL, l’augmentation du coût du papier, une dépense annuelle supplémentaire estimée à plus de 500 000 $ pour l’entreprise, et l’obligation de défrayer les frais associés à la récupération des journaux auprès de Recyclemédias (167 000 $), un organisme agréé par le gouvernement du Québec, ont obligé son président et éditeur, Serge Langlois, à adopter un mode de gestion optimal.
«Nous sommes en meilleure position que la plupart des journaux de l’industrie. Toutefois, pour plusieurs, c’est leur existence même qui est menacée», a insisté M. Langlois qui a donc eu des choix difficiles à faire au cours des derniers mois.
«Jusqu’à maintenant, a-t-il poursuivi, nous avons été créatifs et avons toujours trouvé des solutions. Par contre, si ces hausses de frais se poursuivent, il nous sera de plus en plus difficile de les supporter.»
M. Langlois apprécie par ailleurs voir les différents paliers de gouvernement s’intéresser au dossier. À ce sujet, une rencontre est prévue, le 29 septembre, entre la CPPIQ et un comité spécial de Patrimoine Canada. La coalition profitera de cette occasion pour déposer un mémoire qui sera ensuite remis pour analyse au ministère de la Culture et des Communications.
D’ici là, tous les journaux membres d’Hebdos Québec, de TC Média, du Groupe Capitales Médias, de même que Le Devoir, seront mis à contribution afin de faire entendre leur voix.
«Nous croyons à la presse régionale. C’est essentiel!, a conclu Serge Langlois. Nous sommes heureux de constater que le monde politique ait compris la situation fragile dans laquelle se trouve notre industrie et l’urgence d’agir.»

Offensive pour sauver les hebdos du Québec