L’accident est survenu vers 15 h sur le boulevard Curé-Labelle, près de l’intersection du boulevard Céloron. Aux dires de témoins rencontrés par les autorités locales, le conducteur aurait perdu le contrôle de la moto, pour ensuite percuter le trottoir. Les deux hommes ont été éjectés sous la force de l’impact et ont terminé leur vol sur un poteau d’Hydro-Québec.
Le décès de l’un d’eux a été constaté sur place. L’autre a été transporté dans un centre hospitalier et on craignait pour sa vie. Il a finalement succombé à ses blessures. Les deux hommes sont âgés entre 25 et 30 ans.
Des enquêteurs ont été envoyés sur place pour analyser la scène. Des témoins disent que la motocyclette roulait à vitesse permise.

La plage avait fait l’objet d’une fermeture préventive, le 2 juillet 2019, en vertu de l’article 83 de la Loi sur la qualité de l’environnement, à la suite d’une situation déclarée par la Municipalité d’Oka en lien avec le dysfonctionnement temporaire du réseau d’égout municipal. Le ministère avait alors demandé à la Municipalité de procéder à la fermeture de la plage et d’afficher une interdiction de tous les usages de la rive sur l’intégralité du parc.
Les correctifs requis ont été réalisés. Des prélèvements effectués le 4 juillet ont confirmé que les eaux de baignade de la plage du Parc national d’Oka sont conformes aux normes de qualité bactériologique établies par le ministère.
Le retour de la baignade signifie du même coup que l’ensemble des activités nautiques, telles que le canot, le kayak, le surf à pagaie ou le pédalo, reprend aussi leurs droits.

La plage d’Oka est à nouveau ouverte à la baignade

L’Association Hebdos Québec s’inscrit en faux face à la recommandation de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) d’avoir recours à une «approche d’une distribution volontaire plutôt que systématique » des circulaires, reposant sur le principe de «l’opt-in» plutôt que de «l’opt-out» .
Or, la formule du «opt-in» ne permettrait plus la distribution des hebdos, à l’intérieur du Publisac, dans leurs communautés respectives, et ce, à la grandeur du Québec. 
«Il est vrai que la disparition du Publisac viendrait compliquer notre modèle d’affaires» , de commenter Serge Langlois, président éditeur du groupe JCL. «Toutefois, a-t-il ajouté, il existe d’autres options.» 
<h3>Liberté de presse</h3>
C’est aussi au nom de la liberté de presse qu’Hebdos Québec a lancé cette offensive, la semaine dernière, en s’insurgeant contre le scénario d’approche de distribution volontaire de la CMM, visant le Publisac, et ce, bien que cette dernière ait pris la peine de spécifier que «les journaux locaux, une importante source d’information locale, ne devraient pas être touchés par cette mesure.» 
Selon Benoit Chartier, président d’Hebdos Québec, le principe de «l’opt-in» , ou de permettre la distribution seulement aux citoyens qui en font la demande, n’est pas viable, a-t-il indiqué, dans un communiqué de presse acheminé aux médias, jeudi.
«Une telle mesure, insiste M. Chartier, priverait ultimement les citoyens d’une information locale et régionale nécessaire à la démocratie et les annonceurs de leur clientèle de proximité.» 
Pour le président d’Hebdos Québec, recommander un tel principe et ajouter du même souffle que les hebdos ne devraient pas en souffrir, «c’est complètement ignorer leur écosystème et leur modèle d’affaires. C’est une atteinte grave au droit du public à l’information et à la liberté de la presse.» 
Au Groupe JCL, Serge Langlois demeure positif et est confiant qu’on en arrivera à une solution durable. 
«Nous sommes conscients de l’enjeu environnemental. Nos journaux sont tous faits de papiers recyclables. La solution n’est pas simple et TC Transcontinental, notre distributeur, devra être créatifs, mais j’ai bon espoir qu’il y arrive. Cette entreprise ne voudra certainement pas se départir d’un marché aussi lucratif» , de conclure celui-ci.

Blainville: Un accident de moto fait deux morts