Les policiers de la Régie Intermunicipale de police Thérèse-De Blainville (RIPTB) ont reçu un appel d’urgence d’un témoin de l’incident à 13h15 disant qu’un homme gisait au fond de la piscine de la résidence pour personnes âgées située sur le chemin Grande-Côte.
« Nos policiers sont arrivés sur les lieux et un de nos agents a littéralement sauté à l’eau après avoir enlevé son gilet par balle et son ceinturon. Il a sorti l&#8217;homme de la piscine pour tenter de le réanimer », de dire Martin Charron, porte-parole du RIPTB. L’homme a été transporté dans un centre hospitalier de la région, où son décès a été constaté.
À ce stade, la police tente de déterminer les causes et les circonstances de l’événement. L’homme a été vu pour la dernière fois par une préposée de la résidence à 12h45. « Nous voulons savoir ce qui s’est passé entre 12h45 et 13h12 », de dire M. Charron.
Au moment de la rejoindre, la direction des Résidences Desjardins Boisbriand s’est abstenue de tous commentaires.

«Je me réjouis que notre gouvernement investisse dans les Laurentides pour appuyer les organismes venant en aide aux victimes d’actes criminels. Ainsi, les victimes de notre région peuvent obtenir des services de qualité répondant à leurs besoins, et ce, près de chez elles», fait valoir la ministre responsable des Laurentides, Christine St-Pierre.
À l’échelle de la province, ce sont 23,8 millions de dollars qui sont consacrés à cette cause. La ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, explique que les sommes mises à la disposition des organismes «permettent de soutenir activement les personnes les plus vulnérables de la société, ce qui contribue à la mise en place d’une société plus juste et équitable».
Le CAVAC propose des services confidentiels et gratuits aux victimes et à leurs proches ainsi qu&#8217;aux témoins d&#8217;actes criminels. Il offre notamment des services d’accompagnement au sein du système judiciaire, de l&#8217;information sur les droits et recours des victimes, des services d&#8217;intervention de nature post-traumatique et psychosociojudiciaire, de l&#8217;aide pour remplir certains documents administratifs, de même que des services d’orientation vers des ressources spécialisées.
Notons que les montants annoncés proviennent du Fonds d&#8217;aide aux victimes d&#8217;actes criminels (FAVAC), lequel tire ses principaux revenus des sommes perçues à la suite d&#8217;infractions aux lois pénales québécoises et au Code criminel, ainsi que des sommes liées au partage des produits de la criminalité.
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1,1 M$ pour venir en aide aux victimes d’actes criminels

Depuis ses débuts, cette initiative a permis d’amasser plus de deux millions de dollars et de servir plus de deux millions de déjeuners dans les écoles participantes.
«Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur la participation et la générosité des gens de chez Bureau en gros et ainsi entretenir une relation qui dure depuis 11 ans, souligne Daniel Germain, président fondateur du Club des petits déjeuners. Leur appui est, pour nous, essentiel afin de donner accès à un déjeuner nutritif à un plus grand nombre d’enfants possible d’année en année. Leurs efforts nous permettent de mener à terme notre mission qui est de nourrir le potentiel et la santé des enfants, en leur donnant à tous une chance égale de réussite.»
«C’est avec beaucoup de fierté que nous participons annuellement à cette campagne qui mobilise à la fois nos associés ainsi que le grand public. Nous invitons tous nos clients à être généreux lors de cette campagne», renchérit Rudel Caron, vice-président régional, ventes et exploitation du Québec chez Bureau en gros.
Les dons sont acceptés en magasin jusqu’au 3 septembre. Un don en ligne peut également être fait en tout temps au [www.clubdejeuner.org/donnez].
Le Club des petits déjeuners est présent dans quelque 280 écoles au Québec et dessert plus de 17 000 enfants.

Boisbriand: Une personne âgée retrouvée dans une piscine